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11 novembre 2024 : halte à la guerre
Amis, Citoyennes et Citoyens, Camarades,
Au nom de la Libre Pensée, je salue et remercie toutes les organisations, les citoyennes et citoyens qui soutiennent cette initiative et qui sont présents ici.
Le 11 novembre, pour la Libre Pensée, c'est la bataille qui continue pour la réhabilitation des fusillés pour l'exemple de 14-18.
Une bataille menée avec beaucoup d'autres à nos côtés. Nous nous sommes appuyés sur la prise de positions de 2 000 Communes, 31 Conseils départementaux et 6 Conseils régionaux.
Une bataille qui a permis le vote en première lecture par l'Assemblée le 14 janvier 2022 d'une proposition de loi du député LFI Bastien Lachaud. Elle a été bloquée par le Sénat.
Nous recommencerons, sans cesse, jusqu’à la victoire. Nous n’avons jamais été aussi près de gagner cette bataille de Justice.
Pour relancer le processus parlementaire, il faut représenter cette proposition de loi à l’Assemblée nationale pour qu’elle soit votée de nouveau, puis soumise au vote du Sénat. Nous sommes en relation permanente avec différents groupes parlementaires pour guetter une fenêtre de tir possible, vous me pardonnerez cette expression.
Nous voulons réhabiliter ceux qui hier ont dit Non pour pouvoir dire Non à la guerre aujourd’hui.
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Je vous salue au nom de la Libre Pensée
Avant d'évoquer la question qui nous rassemble ce jour, je vous propose un petit détour d'histoire.
La France a plusieurs fois pratiqué l'amnistie. Pour l'Algérie, qui n'était pas une guerre mais une sorte d'opération spéciale, De Gaulle amnistie les « terroristes », puis les militaires et fonctionnaires « impliqués dans les faits commis dans le cadre des opérations de maintien de l'ordre », c'est à dire la torture ; la loi de 1968 décide « une amnistie générale de toutes infractions commises en relation avec les événements d’Algérie », notamment celles « commises par des militaires servant en Algérie ». Pas de ceux qui, français, ont milité avec le FLN, les insoumis et les déserteurs.
En 1982, Mitterrand impose par le 49-3 la restitution aux anciens OAS de leurs droits d'ancienneté, de retraite, de réintégration dans leur corps en tant que réservistes pour les anciens militaires. La loi réhabilite les généraux putschistes. On efface et on oublie.
Les fusillés pour l'exemple de 14-18, pour la très grande majorité, attendent toujours.
Le 14 janvier 2022, sur proposition du député LFI Damien Lachaud, l'Assemblée nationale votait une proposition de loi. Les termes en sont pesés, je les cite intégralement :
« Les militaires en service dans les armées françaises du 2 août 1914 au 11 novembre 1918 ayant été condamnés à mort pour désobéissance militaire ou mutilation volontaire par les conseils de guerre spéciaux créés par le décret du 6 septembre 1914 relatif au fonctionnement des conseils de guerre ainsi que par les conseils de guerre rétablis par la loi du 27 avril 1916 relative au fonctionnement et à la compétence des tribunaux militaires en temps de guerre et dont la condamnation a été exécutée font l’objet d’une réhabilitation générale et collective, civique et morale. La Nation reconnaît que ces soldats ont été victimes d’une justice expéditive, instrument d’une politique répressive, qui ne respectait pas les droits de la défense et ne prenait pas en compte le contexte de brutalisation extrême auquel les soldats étaient soumis. »
Le 2 février 2023,le Sénat rejetait ce texte.
Nous nous appuyons sur la prise de positions pour cette réhabilitation de 2 000 Communes, 31 Conseils départementaux et 6 Conseils régionaux.
Nous avons écrit aux maires des communes du Morbihan dont sont originaires les 15 fusillés pour l'exemple connus, aux parlementaires. Aucune réponse à ce jour !
Dans les deux Chambres, les opposants à la réhabilitation ont pris leurs arguments dans le rapport publié en 2013 à la demande de François Hollande, sous la responsabilité d'Antoine Prost. Citons :
« Certaines associations, comme la Libre Pensée, mais aussi l’ARAC demandent, suivant des modalités différentes, une réhabilitation générale de tous les fusillés de la guerre. » ...Menteur ! Truqueur ! Et il poursuit :
« Son extension fait d’abord problème. Si beaucoup de fusillés l’ont été dans des conditions inacceptables, d’autres l’ont été pour des raisons sérieuses, qui auraient conduit à leur condamnation par d’autres cours que les tribunaux militaires : certains l’ont été pour crime pur et simple, assassinat ou viol. D’autres encore l’ont été pour espionnage, et si certains l’ont été sans preuve de façon criminelle, notamment au début de la guerre, d’autres l’ont été à juste titre.... Réserverait-on la réhabilitation aux militaires ? Quid alors des droits communs ?
On voit les difficultés que soulèverait la définition du périmètre de cette réhabilitation. »
Et conclut ainsi :
« ...réhabiliter non seulement des soldats pris dans une panique, mais un triple ou quadruple déserteur, ou encore un mutin, c’est-à-dire le déclarer innocent, constitue une négation du devoir militaire. Par-delà la question concrète de tel ou tel soldat fusillé, la proposition d’une réhabilitation générale pose une question majeure : la République admet-elle que la défense nationale n’ait pas été et puisse ne plus être aujourd’hui une obligation pour les citoyens ? »
Travail d'historien, ou bien d'histrion en service commandé ?
L'appel à l'obligation de défense prend un poids particulier dans la période de marche à la guerre que nous vivons. On y reviendra.
On a le chiffre officiel de 639 « fusillés pour l'exemple ». Il a été acté par Hollande, en tant que président de la République. Il a renié l'exigence de réhabilitation collective, votée par Hollande président du Conseil général de Corrèze. La liste est affichée à l'occasion du centenaire. Elle est aux Invalides, à côté des condamnations de droit commun, d'espionnage, etc. Elle a profité du travail inlassable du général André Bach, à l'époque directeur du service historique de l'armée de terre.
C'est la vérité officielle. Elle ne doit pas empêcher la recherche et la mise au jour des faits.
Par exemple, on lit sur le site Herodote.net :
« Jean-Jacques Becker, spécialiste de la Grande Guerre, rappelle que le commandement français n'a pas procédé non plus à des « fusillés pour l'exemple ».En d'autres termes, il n'y a pas eu dans l'armée française de soldats pris au hasard et fusillés pour sanctionner l'indiscipline de leur unité. »
Oui, mais... il existe un groupe de chercheurs qui poursuit le travail du général André Bach en analysant scrupuleusement les archives. Ils publient régulièrement, depuis 2014, sur le site PRISME14-18 Publication indépendante autour des fusillés pour l'exemple et exécutés de la Grande Guerre.
Le site rend compte d'une exécution sommaire approuvée par le général Foch de 10 tirailleurs tunisiens en technique de décimation. Cette décimation a eu lieu le 16/12/1914 vers 17h00 au lieu-dit Verbranden Mollen sur la commune de Poperinghe en Belgique.
Et puis, le 19 avril 1915, à Flirey, un mouvement de protestation a touché une compagnie du 63è RI. Le choix du commandement a été de faire passer en jugement un homme par section à désigner par leurs chefs respectifs. Cinq hommes ont été traduits en comparution immédiate en soirée. L’un deux a été acquitté mais les 4 autres sont tombés sous les balles des pelotons d’exécution, le 20 avril 1915.
Un mois plus tard, 27 soldats du 56è de ligne ont été jugés, 23 condamnés à mort. Les soldats devaient reprendre une position ; « Ce n’est pas à notre tour de marcher. » Il y avait dix mois que le régiment occupait le secteur de l'enfer du Bois-D'Ailly, ayant perdu des milliers d'hommes.
Mais un syndicaliste a reçu un courrier d'un soldat a pu alerter immédiatement le ministère de la guerre. La hiérarchie a hésité. Le 10 juin, le Président de la République signe à Paris la commutation de peine pour les 23. Le cas de Flirey a pu peser.
Et le site 14-18 conclut que ce cas est « très représentatif de ce que peut être le concept de « fusillé pour l’exemple ». Ici, suite à une période de flottement dans la discipline, le commandement en était venu à l’idée que l’exécution de quelques hommes devant leurs camarades conviés à cette cérémonie, était le moyen adéquat pour leur rappeler que sous l'uniforme "l'obéissance se devait d'être entière et la soumission de tous les instants, que les ordres devaient être exécutés littéralement, sans hésitation ni murmure, comme cela était indiqué sur leur livret militaire." ».
Patrick Cabouat, dans son documentaire Fusillés pour l’exemple, fait remarquer : « Dans toutes les armées alliées, on constate une corrélation systématique entre les échecs du commandement et l’augmentation du nombre d’exécutés pour l’exemple. » Devant la médiocrité éclatante de l’encadrement français dans la Bataille des Frontières, les limogeages s’accompagnent de l’abandon total de toute autorité civile sur la justice militaire. Ainsi que l’écrit le Ministre de la guerre à son chef d’état major : « Vous voulez la victoire. Prenez-en les moyens rapides, brutaux, énergiques et décisifs. »
On distingue dans l'examen des dossiers :
– ceux qui ont été condamnés à mort par un conseil de guerre puis sont passés devant un peloton d’exécution qu’on nomme des fusillés ;
– les exécutés sommaires (78 connues) ;
– les abattus par les forces de l'ordre ou des sentinelles.
On sait que de nombreux soldats ont été condamnés à tort, les médecins caractérisant de "mutilations volontaires" des blessures parfois réellement obtenues sur le champ de bataille. Des soldats victimes du "shell shock", chocs traumatiques provoqués par l'artillerie et paralysant entièrement celui qui en était atteint, ont été fusillés parce que les blessures psychiques n'étaient pas prises en compte par l'armée au début de la guerre.
André Bach estimait que l’historien n’avait pas à intervenir dans les « jeux » du pouvoir, la complaisance de certains historiens à justifier les choix d'un pouvoir étant devenue malheureusement une constante de notre époque.
Constatons la continuité de fait entre l’institution militaire capable de fusiller ses soldats et une République qui se refuse à en désavouer les actes.
Cette histoire a son importance pour les générations actuelles qui n’ont jamais connu ce vent de guerre, tel qu’il souffle aujourd’hui, pour les jeunes qu'on veut faire marcher au pas avec le SNU. L'armée à l'école, la militarisation de la jeunesse, c’est la mise au pas de la jeunesse pour lui apprendre à obéir. Avec la loi « séparatisme », c'est une idéologie d’État qui se met en place, qui dit quoi dire, quoi penser, comment s'habiller... c'est l'essence du totalitarisme.
Rappelons ce que disait Ferdinand Buisson, Président de la Libre Pensée et véritable père de l’École laïque et de la loi de 1905 de Séparation des Églises et de l’État : Il faut « Habituer les enfants à se dire : un uniforme, c’est une livrée, et toute livrée est ignominieuse, celle du prêtre et celle du soldat, celle du magistrat et celle du laquais… Il faut chasser loin de l’esprit des enfants le Dieu des armées, le Dieu des Napoléons. »
Nous dénonçons la militarisation croissante, l'alignement sur l'OTAN, les budgets militaires payés par le recul des droits sociaux, la destruction de l'école, de la santé.
Chacun le ressent, nous sommes désormais dans une situation inquiétante. Ce monde inquiet sent la poudre. Et si la guerre en Ukraine n’était que ”l'échauffement” d'une “grande guerre” opposant les États-Unis à la Chine ? C’est en tous cas ce qu’a affirmé l'amiral Charles A. Richard, l'un des plus hauts gradés de l'armée états-unienne à la tête de "l'United States Strategic Command", lors d'un symposium officiel en novembre.
Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. La recherche de profits immenses pour les lobbys militaro-industriels amène à rendre la guerre inévitable. Tout est méthodiquement organisé pour cela. Quand la crise vient, dans toutes ses dimensions, quand les gouvernements sont haïs et rejetés par les populations, pour les Capitalistes et Impérialistes, la guerre est toujours la solution pour préserver leur pouvoir et leurs intérêts.
Rappelons-nous que c’est comme cela que les Girondins en 1792 ont fait : la guerre à l’extérieur pour garder le pouvoir à l’intérieur. La crise du Capitalisme est telle qu’il faut, pour lui accorder un répit, déboucher sur une économie de guerre généralisée.
En Ukraine, en Palestine, la guerre s'installe. Conquête de territoires (avec leurs ressources), justifiée par des constructions idéologiques, des mythes, au détriment des peuples et de leur histoire. La création d'un état sur base d'identité religieuse en Palestine est un piège sanglant pour les Juifs, dont ceux qui disent les soutenir ont refusé leur accueil après 45. La haine devient la règle.
Les crimes de guerre se multiplient, les civils sont visés et frappés. Alors, on parle de terrorisme. Terme qui traduit l'émotion, l'horreur qui nous saisit devant le cortège de massacres, de tueries, de barbarie.
Mais terme qui justifie tous les actes de répression contre la population, bien entendu complice.
Raser Gaza, cela ne serait n’est pas du terrorisme ? Bombarder des populations innocentes, simplement parce qu’elles sont palestiniennes, ce n’est pas du terrorisme ? Comment oublier que la guerre sioniste qui a débouché sur la création de l’État d’Israël s’est faite avec des moyens terroristes, et revendiqués comme tels !
Les Résistants de la Deuxième Guerre mondiale étaient appelés aussi « Terroristes » par les Nazis et les Vichystes. Les Combattants pour l’indépendance de l’Algérie ont été dénoncés, torturés et fusillés comme « terroristes » par l’État français… dont François Mitterrand était ministre de l’Intérieur.
Et la solidarité avec un peuple meurtri, chassé de ses terres deviendrait l'apologie du terrorisme.
La Libre Pensée dénonce la politique de répression du Gouvernement Macron/Darmanin qui entend interdire toute expression de solidarité avec le Peuple palestinien. La Libre Pensée condamne ces interdictions de manifester notre solidarité et appelle à y participer sous la forme que chacun choisira librement. La Libre Pensée réaffirme sa totale solidarité avec le Peuple palestinien et son droit légitime et indéfectible à rester et à reprendre sa terre.
Il faut stopper la Marche à la Guerre. Il faut renouer avec le combat internationaliste qui s‘est exprimé dans le Manifeste de Kienthal de 1915. Il disait, et c’est d’une brûlante actualité :
« La guerre n’a jamais tué la guerre. Au contraire, en excitant les sentiments et les intérêts de « revanche », la guerre prépare la guerre, la violence appelle la violence…. Assez de ruines aussi !
Car c’est sur vous, peuples travailleurs, que tombent et tomberont ces ruines. Aujourd’hui, des centaines de milliards sont jetés au gouffre de la guerre et perdus ainsi pour le bien-être des peuples, pour les œuvres de civilisation, pour les réformes sociales, qui auraient amélioré votre sort, favorisé l’Instruction et atténué la misère….
Peuples qu’on ruine et qu’on tue, debout contre la guerre ! Courage ! N’oubliez pas que, malgré tout, vous êtes encore le nombre et que vous pourriez être la force. Que dans tous les pays, les gouvernements sentent grandir en vous la haine de la guerre et la volonté de revanches sociales, et l’heure de la paix sera avancée. »
Avec les Internationalistes de Kienthal et de Zimmerwald, nous disons haut et fort :
A bas la guerre !
Vive la paix ! - la paix immédiate et sans annexions !
Si tu veux la Paix, agit pour la Paix et contre la Guerre !
Il faut chasser les fauteurs de guerre !
Ni dieu, ni maître !
A bas la Calotte !
Et vive la Sociale !
Je vous remercie
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Intervention pour le LP 56 au 11ème rassemblement pour la réhabilitation collective des fusillés pour l’exemple de la guerre de 1914-18.
A Vannes, le 11 novembre 2020, à 11h, au bas de la rue Jean Jaurès, dirigeant socialiste et laïque, premier fusillé pour déclencher la boucherie.
Nous ne lâchons pas.
Un nouveau projet de loi va être présenté pour la réhabilitation des fusillés pour l’exemple. Les démarches sont en bonne voie pour que la proposition de loi portant réhabilitation des Fusillés pour l’exemple soit déposée prochainement à l’Assemblée nationale par plusieurs Groupes parlementaires. L’initiative a été ralentie du fait de la pandémie, mais elle reprend force et vigueur.
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Le 26 octobre, nous écrivions à différentes organisations et personnes le courrier suivant :
"La Libre Pensée organise régulièrement à l'occasion du 11 novembre des rassemblements dans les départements pour la réhabilitation collective des Fusillés pour l’exemple de la Première Guerre mondiale. L’action pour faire déposer une proposition de loi à l’Assemblée nationale pour leur réhabilitation collective par plusieurs Groupes parlementaires est en bonne voie. Nous souhaitons organiser ce 11 novembre à Vannes un rassemblement, comme cela a déjà été réalisé. Une déclaration a d'ailleurs a été déposée en préfecture à cet effet. Tenir ce rassemblement, en cette période, ne peut que revêtir une importance toute particulière. Tout montre que ce gouvernement s'engage sur une voie qui ne peut que déboucher sur des conflits : extérieurs, tant en ce qui concerne les opérations militaires en cours que pour les risques d'affrontement dans l'espace méditerranéen ; intérieurs, en stigmatisant la population immigrée largement musulmane au nom du combat contre « l'islamisme ». Le projet de loi contre le soi-disant « séparatisme », de plus, menace gravement la liberté de conscience et d’expression, qui est notre bien le plus précieux. Une partie importante des fusillés pour l'exemple ont été assassinés pour avoir, justement, voulu sauvegarder leur liberté de citoyen, nous ne l'oublions pas."
Une déclaration en préfecture avait été envoyée le même jour.
Or, dans une période qui voudrait confiner la population et interdire toute manifestation, la préfecture nous a renvoyé le récépissé de déclaration qui est en pièce jointe à ce message, et nous l'en remercions. D'autres préfets ont interdit les rassemblements de la Libre Pensée le 11 novembre. Comprenne qui pourra.
Nous invitons donc tous ceux qui souhaitent s'associer à cette bataille menée de longue date, qui veulent manifester leur attachement à la démocratie et aux droits qui lui sont attachés, qui refusent l'embrigadement, la militarisation et le matraquage de la jeunesse à venir le 11 novembre à 11 h, rue Jean-Jaurès - Rive gauche du Port ; nous les invitons à s'y exprimer librement, dans le cadre de ce rassemblement et de ses objectifs.
Fraternellement
Le groupe de Vannes de la Libre Pensée
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Vendredi 2 novembre 2018, juste après la célébration du porte-avion Charles-de-Gaulle et ses participations aux interventions militaires gouvernementales, la présentatrice du journal télévisé de la 2, à 13h, célèbre la « victoire » du 11 novembre 1918, de « ceux qui ont combattu pour notre liberté ».
Quelle victoire, quelle liberté, quel combat ? Et quelles interventions militaires aujourd’hui ?
Lire la suite : Rassemblement pacifiste du 11 novembre à Vannes : contribution pour la LP 56
- 70 personnes au rassemblement pacifiste du 11 novembre à Vannes
- Rassemblement pacifiste le 11 novembre 2018, 11h30, Vannes, en bas de la rue Jean-Jaurès
- Le Télégramme - 13-11-2017 - rassemblement à Vannes le 11 novembre
- 9ème rassemblement à Vannes, pour la réhabilitation collective des fusillés pour l'exemple de 1914-1918, au bas de la rue Jean-Jaurès, samedi 11 novembre 2017